Définition et symptômes

D’une manière générale, le diabète se définit comme l’augmentation de la teneur en glucose dans le sang. Il traduit de ce fait un dysfonctionnement au niveau de l’assimilation et du stockage des sucres apportés par la nourriture. Normalement, le glucose est induit à pénétrer dans les organes grâce à l’insuline. Lorsque cette dernière ne fonctionne pas correctement, le glucose s’amasse dans le sang. Ce déséquilibre va provoquer le diabète. Les symptômes varient en fonction du type et de la gravité de la maladie, mais il existe des signes assez révélateurs comme le besoin d’uriner fréquemment, les grandes fatigues, la soif permanente et aussi les picotements dans les pieds.

Les origines du diabète

Si le diabète de type 1 possède une origine auto-immune, le diabète de type 2 quant à lui, est dû à des facteurs de risques liés à l’environnement et à l’alimentation. En cas de diabète de type 1, le problème pathologique va surtout toucher le pancréas. Le diabète de type 2 pour sa part, se caractérise par la diminution de la sécrétion en insuline. Par ailleurs, parmi les facteurs de risque les plus rencontrés qui peuvent favoriser les cas de diabète, il y a l’hypertension artérielle, l’hypocholestérolémie, le tabagisme et la consommation excessive d’aliments sucrés.

Traitements et préventions ?

Le traitement adéquat de cette maladie dépend du type de diabète dont la personne est victime. Cependant, quelle que soit l’origine de la pathologie, le but de toute médication y afférant est de garder la glycémie à un niveau et à un taux normal sinon optimal. Pour les malades du diabète de type 2 sans complications apparentes, il est fortement conseillé de maintenir un régime alimentaire équilibré et de faire des activités sportives régulières. Lorsque la maladie atteint une certaine évolution, il devient indispensable de préconiser des soins médicamenteux pouvant aller jusqu’au traitement par l’insuline. En revanche, le diabète de type 1 se traite directement par des injections d’insuline.

Les médicaments à base d’antalgiques pour soigner le mal de gorge

Il existe plusieurs médicaments antalgiques pour soigner un mal de gorge. D’abord, on a le paracétamol qui est le plus classique avec une dose de 4g/jour au maximum. Dans cette catégorie, on retrouve aussi l’Efferalgan, le Doliprane ou le Dafalgan. Ensuite, on a l’Ibuprofène, un anti-inflammatoire destiné à soulager le mal de gorge. L’Ibuprofène regroupe les médicaments comme le Nurofenflash, le Nurofen et l’Ibupradoll. Pour soigner l’angine, vous pouvez aussi prendre des antiseptiques en compléments des antalgiques. Dans cette catégorie, vous avez les collutoires. C’est un médicament en forme de spray conçu pour traiter les infections buccales. Mais il y a aussi l’hexaspray, l’Humex mal de gorge, le StrepsilSpray Lidocaïne et l’angispray. Les bains de bouche en solution peuvent également être utilisés pour soigner le mal de gorge. Pour cela, vous pouvez utiliser l’EludrilPro Bain de Bouche, 15ml à diluer dans un verre d’eau tiède 2fois par jour. Il y a également l’Hextril menthe qui est à utiliser pure ou diluée au demi.

Les comprimées et les pastilles à sucer pour soigner l’angine

Il existe aussi des comprimées et des pastilles à sucer pour soigner l’angine. On a par exemple l’humex gorge pastille miel citron pour une prise de 4 à 6 pastilles par jour. Puis, il y a le Lysopaïne menthe sans sucre à prendre 3 à 5 comprimés par jour. Ensuite, il y a le Drill Tétracaïne Pastilles sans sucre pour une prise de 8 pastilles maximum par jour pendant 5 jours. Enfin, il existe aussi l’Humex Mal de Gorge Lidocaïne Menthe Pastilles pour une posologie de 8 fois par jour maximum pour un adulte. À noter que ces pastilles sont à sucer bien avant les repas et sont contre-indiquées dans le cas d’une allergie aux anesthésiques locaux.